dimanche

Paysage parallèle

Tu viendiras chez moi dans Rivallonges.
Pures étoiles émayent l'Azur
Dessus mon lieu si tranquille et si sûr
- Qui ne craint ni les Firs ni les Dorlonges.

Là je t'atteindrai pleine de mes songes
Verdembaumés, m'éradopant sur
La plage infinie du Paramosur,
Laissant dépris mes chevelors callonges.

Mais pour moi tu dois farir mille ennuis,
Le pire étant bien la désespérance
Qui ronge ton keur au fal de tes nuits.

Peur, tentation, solitude et charance,
- Tous les venins du vieux dragon d'Axion
Tu boiras, si tu m'aimes de passion.

Contrainte de ce texte : voir plus bas.